Distant voices, still lives

de Terence Davis (1988, 1h25)
Samedi 12 novembre 2011 à 21h30
Projection animée dans le cadre de la Carte blanche à Claudio Pazienza

L’autobiographie. L’autoportrait.

Diptyque filmé / violence sourde et patriarcale / nostalgies / présences épaisses, terriennes souvent mutiques / rudesses / en finir avec la famille / noyer le réalisme anglais dans l’alcool, à Liverpool ou ailleurs / noyer la pauvreté dans le chant / « S’il n’y avait pas eu de souffrance, il n’y aurait pas de films » disait T. Davies en 1988/ rituels immuables / être ouvrier de père en fils / étroitesses / chanter encore / chanter l’insolence d’être le fils de son père, surtout le weekend / attendre le miracle, peut-être les Beatles / imaginer le purgatoire comme un pub / « Viendra la mort, elle aura tes yeux » écrivait C. Pavese en 1950.

Claudio Pazienza

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