Panamarenko, portrait en son absence

de Claudio Pazienza (Belgique, 1997, 26 min)
Samedi 14 février à partir de 15h30

A la fois évidente et complexe, ramifiée, multiple, ironique, l’œuvre de Panamarenko semble faire la joie des grands et des petits. Mais malgré son apparente lisibilité, elle demeure inclassable et joyeusement iconoclaste. Elle ne peut se résumer à la volonté de bricoler appareils et machines capables de se mouvoir avec ou sans force de l’homme, sur terre comme sous l’eau, pour étonner chameaux et poissons. Non, l’ensemble des objets de Panamarenko posent sans cesse la question des limites, des frontières, des passages. Passages de la contemplation à l’acte, de la matière à la forme, de l’art à la science (et vice versa).

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